First time in Rotterdam
Enfin sur le sol néerlandais ! Après un accueil mouvementé à la gare du Nord par des bidasses aux arguments balistiques indéniables, Hortefeux tout flamme oblige, pas de guitare ni de barbe. Jetez un voile pudique !
Je ne ferai pour le moment pas de propagande diffamatoire envers le Thalys ras la gueule aux allures du porte-avions Charles de Gaule disséminant son désassemblage dans toutes les eaux existantes.
Pour cette défleuraison aux pays de la tulipe, le soleil était au rendez-vous. Ceci m’a permis d’arpenter les rues jouxtant ma royale résidence. En effet, pas de mauvaise surprise à ce sujet, l’accueil indien qui m’était réservé était fort sympathique. Durant une courte ballade véhiculo-tractée me permettant de rallier mon futur antre hollandais, j’ai pu apercevoir l’Euromast (aucune parenté avec les pneus...), sorte de Tour Eiffel locale modernisée, sans le charme parisien, offrant une vue imprenable sur Rotterdam et aussi du saut à l’élastique ravigorant.
Ma chambre est suffisamment spacieuse, de plus l’étage est complément équipé ce qui est très appréciable. Cet espace détente est à partager avec une co-locatrice non intronisée à l’heure de la rédaction de ces lignes.
Sinon, les alentours sont typiques, maisonnettes individuelles tapissées de briquettes ocres aux plaques nominatives sur fond bleu aux écritures blanches.
Une rivière longeant les habitations offrant un panorama en canards, pigeons et autres volatiles, mon univers habituel.
Dommage que pour mes collations, j’ai oublié mon fusil. J’ai pu croiser le Tram, ainsi que de nombreuses tavernes locales aux breuvages estampillées Heineken et autres Coffee Shops.
Attendons de profiter des spécialités environnantes pour avoir un visage objectif de la ville.